Contre les murs | les échos de la gauchosphère 9 novembre 2014 […] qui dépasse ma petite personne. je ne suis définitivement pas, en pensant avec tendresse à Ponge, de la race des murs mais de celle des […]
Une réponse à “Les plaisirs de la porte, Francis Ponge.”
[…] qui dépasse ma petite personne. je ne suis définitivement pas, en pensant avec tendresse à Ponge, de la race des murs mais de celle des […]